Archives de catégorie : Numérique éducatif

Photospeak – Faites parler vos photos

PhotoSpeak est une application très simple qui permet de « faire parler des photos ».

Choisissez une photo, placez-y des yeux et une bouche et prêtez votre propre voix au personnage (voix transformable). On peut aussi ajouter quelques accessoires, lunettes, cheveux, bonnets, …

On peut aisément envisager une synthèse à réaliser sur un personnage célèbre qui raconte d’où lui vient sa célébrité.

Un travail d’écriture motivant pour produire un discours de qualité!

CLEMI – Éducation aux médias et à l’information

Brochure d’activités pédagogiques dédiée à l’école primaire

Apprendre à chercher, vérifier, et publier l’information de manière responsable est essentiel au développement de l’esprit critique des élèves. Le… pour en savoir plus, cliquer ici.

Brochure « Médias et Informations, on apprend ! » – Édition 2018-2019

L’édition 2018-2019 de la brochure « Médias et Information, on apprend ! » est parue. Les enseignants pourront y trouver : des informations pratiques… pour en savoir davantage, cliquer là.

Logiral – Ralentir les vidéos

Carole Tardif et Bruno Gepner, de l’université d’Aix-Marseille, avec la société Auticiel®, sous l’égide et grâce au soutien du Ministère de l’Education Nationale, ont développé Logiral™,

Grâce à Logiral™, vous pouvez ralentir tous les films, dessins animés, ou séquences vidéo que vous réalisez, et les présenter sur votre tablette à des vitesses différentes.

Logiral facilite l’attention et la compréhension.

En effet, le ralentissement des signaux audio-visuels de l’environnement influe positivement sur les capacités (reconnaissance des émotions, imitation, compréhension verbale, poursuite oculaire, fixation du regard),

L’ utilisation de Logiral permet d’améliorer :

  • l’imitation faciale, verbale, gestuelle
  • le décodage des expressions faciales et la résonance émotionnelle
  • la lecture labiale, la synchronisation audio-visuelle et la compréhension du langage.

Pour accéder au site, cliquer ici.

LetMe Talk pour communiquer par pictogrammes

LetMeTalk

LetMe Talk est une application d’aide à la communication gratuite pour Android, qui prend en charge tous les domaines de la vie quotidienne pour redonner une voix à tous.

Elle permet de choisir des images qui, assemblées, constitueront une phrase, comme dans les techniques connues CAA (Communication Améliorée et Alternative).

La base de données de LetMe Talk contient plus de 9000  images, faciles à comprendre : (pictogrammes ARASAAC http://arasaac.org). Il est également possible d’importer ses propres images.

Pour utiliser LetMe Talk, aucune connexion internet ou téléphonique n’est requise. Par conséquent, vous pouvez l’utiliser dans presque toutes situations, en établissement, au domicile, à l’école…
LetMe Talk est pré-configurée pour les enfants atteints de troubles du spectre autistique (TSA).

Accéder au site en cliquant ici.

Voir une vidéo de présentation (en anglais)

Anagraph – Support d’aide à la lecture

La plateforme Anagraph a été conçue pour calculer la part déchiffrable des textes utilisés comme supports d’enseignement de la lecture, autrement dit le pourcentage de graphèmes explicitement étudiés en classe. Elle permet d’accéder à la liste, au nombre et à la valeur des graphèmes contenus dans les textes. Les professeurs peuvent ainsi effectuer des choix didactiques éclairés. D’un point de vue pratique, les utilisateurs d’Anagraph sélectionnent les correspondances graphophonémiques (CGP) et les mots entiers explicitement étudiés (mots outils, mots fréquents). Une fois ces éléments renseignés, ils déposent un texte et demandent son analyse à la plateforme. Cette dernière leur fournit un texte en couleur dans lequel les graphèmes étudiés apparaissent en rouge, les mots étudiés en vert et les graphèmes non étudiés en noir.

La recherche Lire et Écrire (Goigoux, 2016) a mis en évidence l’influence de la part déchiffrable des textes sur les performances des élèves en décodage et en orthographe. Les textes peu déchiffrables pénalisent les apprentissages, en particulier ceux des élèves qui obtiennent des scores faibles ou intermédiaires à l’entrée du cours préparatoire (cf. Rapport de recherche Lire et Écrire, 2016, § E.4.1.2 ; Riou, 2017). Les enseignants gagneraient donc à utiliser des textes suffisamment déchiffrables, aux deux tiers si l’on prend en compte les mots entièrement mémorisés, dès le premier trimestre de l’année scolaire.

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