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Aménagements des examens

Cette rubrique expose la réglementation qui s’applique aux candidats en situation de handicap préparant des examens de l’enseignement scolaire.

Mis à jour en Décembre 2o23

Textes Officiels :

BO n°47 du 10 décembre 2020 : Organisation de la procédure et adaptations et aménagements des épreuves d’examen et concours pour les candidats en situation de handicap

Concrètement dans le département :

Aide concernant la démarche de demande d’aménagements

Liens Eduscol :

Examens et Handicap

Réglementation applicable à tous les examens

Les dispositions qui suivent sont valables pour tous les examens de l’enseignement scolaire.

Conservation des notes et étalement des épreuves au bac général et technologique

Les dispositions qui suivent sont valables uniquement pour le baccalauréat général et technologique.

Candidats handicapés tous examens

Dispositions relatives à l’aménagement des épreuves, examens et concours de l’enseignement scolaire pour les élèves en situation de handicap.

Adaptations et dispenses au bac général et technologique

En plus des aménagements des conditions de passage des épreuves applicables à tous les examens de l’enseignement scolaire pour les candidats en situation de handicap, les dispositions suivantes concernent spécifiquement le baccalauréat général et technologique.

 

 

Projets 2022-2023

Projets mis à jour régulièrement

École & Cinéma 71

  • Voir 3 films contemporains ou du patrimoine (1 par trimestre) en salle
  • Avoir une posture de Jeune Public
  • Mettre en place des activités pédagogiques interdisciplinaires en lien avec les films

Pour participer à ce dispositif vous devez inscrire votre classe et choisir vos 3 films en fonction de la programmation 2022-2023.

Les collègues qui souhaitent participer au dispositif cette année sont invités à s’inscrire via le site École et cinéma 71 avant le 15 septembre 2022.accueil

Arts et Culture 71

Numérique Educatif 71Inscriptions avant le 19/09/21

Sciences et Développement durable

Inscriptions jusqu’au 16/10/2022

Langues Vivantes 71

Infos ou infox

Aborder les fake-news par l’éclairage des sciences

A l’heure où l’actualité nous rappelle douloureusement la nécessité de travailler avec nos élèves, et particulièrement avec les plus fragiles et les plus influençables d’entre eux, à la construction d’un sens critique solide, d’ancrer en eux les notions de liberté de penser et de s’exprimer, en lien avec le respect d’autrui, le projet sur les fake-news proposé par Olivier Petit (centre ressources sciences 71) est réellement intéressant.

Découvrez ici le lien vers la présentation de cette action, et n’hésitez pas à vous y engager avec vos élèves.

Newsletter 11 – D’autres lectures pour l’été…

« L’odyssée d’Hakim »

de Fabien Toulmé

On connait Fabien Toulmé pour « ce n’est pas toi que j’attendais », on le retrouve dans un tout autre registre…  en trois volumes.

L’histoire vraie d’Hakim, un jeune Syrien qui a dû fuir son pays pour devenir « réfugié ». Un témoignage puissant, touchant, sur ce que c’est d’être humain dans un monde qui oublie parfois de l’être.

Pour en savoir plus…

« Ame brisée »

de Akira Mizubayashi

Tokyo, 1938. En pleine guerre entre le Japon et la Chine, quatre violonistes amateurs se réunissent régulièrement pour répéter. Un jour, ils sont interrompus par des soldats, soupçonnés de comploter contre le pays. Caché dans une armoire, Rei assiste à l’arrestation de son père. Cet événement constitue pour lui la blessure première qui déterminera son destin… Mais le passé peut-il être réparé ?

Pour en savoir plus…

« De pierre et d’os »

de Bérengère Cournut

Un voyage initiatique au pays des Inuits, avec des chants de chamane intercalés dans le récit.

Dans ce monde des confins, une nuit, une fracture de la banquise sépare une jeune femme inuit de sa famille. Uqsuralik se voit livrée à elle-même, plongée dans la pénombre et le froid polaire. Elle n’a d’autre solution pour survivre que d’avancer, trouver un refuge. Commence ainsi pour elle, dans des conditions extrêmes, le chemin d’une quête qui, au-delà des vastitudes de l’espace arctique, va lui révéler son monde intérieur.

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« La papeterie Tsubaki »

de Ito Ogawa

Hatoko a vingt-cinq ans et la voici de retour à Kamakura, dans la petite papeterie que lui a léguée sa grand-mère. Le moment est venu pour elle de faire ses premiers pas comme écrivain public, car cette grand-mère, une femme exigeante et sévère, lui a enseigné l’art difficile d’écrire pour les autres.
Le choix des mots, mais aussi la calligraphie, le papier, l’encre, l’enveloppe, le timbre, tout est important dans une lettre. Hatoko répond aux souhaits même les plus surprenants de ceux qui viennent la voir : elle calligraphie des cartes de vœux, rédige un mot de condoléances pour le décès d’un singe, des lettres d’adieu aussi bien que d’amour. A toutes les exigences elle se plie avec bonheur, pour résoudre un conflit, apaiser un chagrin.
Et c’est ainsi que, grâce à son talent, la papeterie Tsubaki devient bientôt un lieu de partage avec les autres et le théâtre des réconciliations inattendues.

Pour en savoir plus…

« Changer l’eau des fleurs »

de Valérie Perrin

Violette Toussaint est garde-cimetière dans une petite ville de Bourgogne. Les gens de passage et les habitués viennent se confier et se réchauffer dans sa loge. Avec la petite équipe de fossoyeurs et le jeune curé, elle forme une famille décalée. Mais quels événements ont mené Violette dans cet univers où le tragique et le cocasse s’entremêlent ?

Pour en savoir plus…

« Le quatrième mur »

de Sorj Chalandon

L’idée de Samuel était belle et folle : monter l’Antigone de Jean Anouilh à Beyrouth. Voler deux heures à la guerre, en prélevant dans chaque camp un fils ou une fille pour en faire des acteurs. Puis rassembler ces ennemis sur une scène de fortune, entre cour détruite et jardin saccagé. Samuel était grec. Juif, aussi. Mon frère en quelque sorte. Un jour, il m’a demandé de participer à cette trêve poétique. Il me l’a fait promettre, à moi, le petit théâtreux de patronage. Et je lui ai dit oui. Je suis allé à Beyrouth le 10 février 1982, main tendue à la paix. Avant que la guerre ne m’offre brutalement la sienne. S. C.

Pour en savoir plus…

L’ouverture de l’ULIS Collège de Lugny, 1 an plus tard

L’implantation d’une ULIS au Collège Victor Hugo de Lugny semble être la suite logique d’un projet d’établissement pour lequel l’accueil de TOUS les élèves est une priorité.

En effet, entre les classes externalisées de l’IME et l’ITEP de Cruzille, le DYS-Positif, le club LSF, on sent une volonté de travailler avec la Différence, un désir d’inclure.

La présentation de l’ULIS par l’équipe ASH en juin et l’organisation du dispositif par l’administration en amont, ont permis de rentrer dans des conditions optimales.

Sept élèves de niveau 6ème et 5ème ont intégré le dispositif.

Au delà de l’apprentissage du fonctionnement d’un collège, des acquisitions scolaires, il leur faut gagner en autonomie, restaurer l’estime de soi, parfois apprivoiser ces élèves au parcours scolaire déjà si complexe.

Mais surtout, l’ULIS, c’est accepter d’apprendre « à se poser », s’autoriser à avoir le temps d’apprendre.

Malgré le contexte sanitaire, l’année s’est déroulée de manière sereine.

Nous avons pu mener à bien nos différents projets. Les inclusions sont importantes et les professeurs volontaires et engagés !

Une belle première année , qui augure le meilleur pour la suite !

Je laisse les élèves conclure, ils sont les meilleurs témoins d’un projet réussi.

Manon.F Ce que je pense de l’ U.L.I.S. c’est qu’au départ je ne trouvais pas ma place parmi les élèves, car je me sentais rejetée comme s’ ils me jugeaient! J’avais aussi l’impression qu’ils me détestaient , et que les profs me trouvaient un peu bizarre! Et différente des autres!

Puis ensuite je me suis mise à changer!

Grace à deux personnes Mme Cadenel et Mme Bourouba (AESH Co).

Et ensuite j’ai repris confiance en moi!

Manon Borde L’ULIS je pense que c’est bien, je n’avais jamais été en ULIS, et ça a tout changé.

Ma rentrée s’est bien passée, les professeurs étaient sympas. Notre prof d’ULIS, Mme Cadenel et M Bourouba(AESH Co) nous aident plus.

Les adultes sont là pour nous , ils nous aident, il nous mettent à l’aise, alors que le collège normal c’est pas pareil. On se sent mieux et on apprend plus de choses que quand j’étais en 6éme ordinaire .

Quand je suis rentrée en ULIS, je me suis dit que ça allait être une autre vie.

Yoann La première année tout va bien tous les profs sont gentils .
Mathéo A la rentrée, Au collège je ne connaissais personne

et je ne voulais pas être ici.

Maintenant, ça va mieux.

Laura Je trouve que c’est super le dispositif ULIS . J’ai progressé depuis la rentrée.

On rigole beaucoup. J’ai appris des choses que je ne connaissais pas avant.

Margot Cette année je trouve que en ULIS on a bien travaillé et bien rigolé.

On est une famille.

Newsletter 10 – CPD Arts

Chers collègues,

A l’occasion du thème choisi pour cette newsletter, me voilà invitée à vous faire part de ma petite expérience et de mes réflexions sur les arts plastiques et les élèves à besoins éducatifs particuliers.

Alors voilà, j’ai commencé ma carrière d’institutrice dans l’enseignement spécialisé :  avec ce qu’on appelait les classes de perfectionnement, puis à l’EREA en tant qu’éducatrice où j’animais un atelier de sculpture.

Ces cinq années m’ont beaucoup apporté pour mon enseignement futur. J’ai gardé de ces débuts la conviction profonde de l’importance des projets pour donner du sens à l’ensemble des domaines d’apprentissages. Un projet donne une direction : on propose un début de chemin et on tire le fil. Les élèves s’impliquent, s’approprient, prennent goût à apprendre, nourrissent à leur tour les recherches et surtout font des liens.

Et comme j’ai toujours été attirée par les arts plastiques, j’en ai fait profiter mes élèves. Tous les ans, quel que soit leur profil, j’ai voulu leur donner un accès à l’art : par la rencontre avec des œuvres, et par la pratique plastique.

Que ce soit dans les classes spécialisées ou dans les autres classes, j’ai des souvenirs d’élèves en grande difficulté d’apprentissage et/ou de comportement qui, alors qu’on leur donne la possibilité de dessiner, de peindre, de manipuler des matériaux, d’utiliser de vrais outils …

se révèlent  

par une capacité de concentration insoupçonnée,

une écoute de l’autre inhabituelle,

un instant de fierté retrouvée,

une assurance du geste révélée,

un trait d’humour,

une parole poétique

ou ne veulent plus s’arrêter !

Que d’émotions. Et c’est pareil quand on s’exprime sur les œuvres d’art : mettre des mots sur ses émotions à propos d’une œuvre permet à ces élèves de dévoiler leur hypersensibilité, leur émotivité souvent très poétique, leur manière de penser et de percevoir le monde parfois si différente. 

Cette réflexion me ramène à ma découverte de l’Art Brut, lors d’une visite à la Fabuloserie à Dicy dans l’Yonne, devenue le plus grand refuge des artistes hors normes qui peignent, sculptent, dessinent à l’ écart des circuit artistiques professionnels.  Cet art hors-les-normes m’a tellement impressionnée, par la poésie, l’humour, la force de vie qui se dégagent de ces œuvres déroutantes, réalisées dans une sorte d’urgence vitale, souvent avec peu de moyens. Souvenir du Manège de Petit Pierre…

Alors, en tant que conseillère pédagogique en Arts Plastiques pour le département, j’ai veillé à ce que mes propositions de projet parviennent à tous les enseignants, y compris dans les établissements spécialisés. C’est pour moi un enjeu majeur de l’école : tous les élèves, quels qu’ils soient, doivent pouvoir faire l’expérience de l’art et de la créativité durant leur scolarité. Toutes deux participent au développement global de la personnalité, dans son développement individuel et relationnel, car la pratique artistique permet d’offrir d’autres moyens d’expression et de communication.

Je n’ai pas eu l’occasion de faire des propositions spécifiques en direction des élèves à besoins éducatifs particuliers. Je n’ai pas reçu moi-même de formation dans ce domaine. Je m’en remets à la compétence des enseignant.e.s qui côtoient ces élèves dans leur pratique quotidienne. Alors les enseignants spécialisés participent aux mêmes temps de formation que leurs collègues, et ce brassage d’expérience est intéressant aussi. Chaque enseignant, spécialisé ou pas, est invité à adapter les propositions de démarches à son groupe classe.

Le cadeau est pour moi, quand, en fin de projet, toutes les réalisations des élèves arrivent à la médiathèque de Mâcon pour l’exposition collective…

Projet Ma maison, ma cabane,
IME et ITEP de Cruzille, 2018-2019

Martine Dussauge, CPD Arts plastiques 71, février 2021

Newsletter 10 – La fabuloserie

La Fabuloserie de Dicy….

Description du Musée La Fabuloserie – Yonne

Le musée La Fabuloserie, ouvert en 1983 au public, est un lieu imaginé et conçu par l’architecte Alain Bourbonnais pour abriter des productions insolites.

Après avoir ouvert une galerie à Paris entre 1972 et 1982, l’Atelier Jacob, Alain Bourbonnais décide de créer, avec son épouse Caroline, un musée qu’il nomme « La Fabuloserie ».

L’espace se compose d’une « maison-musée » où sont exposées plus de mille créations allant des dessins de Yanko Domsic aux bourrages de Francis Marshall, en passant par l’étonnante production des Turbulents d’Alain Bourbonnais lui-même.

A noter que dans la « maison-musée », des salles émerveillent, mais d’autres plus étranges peuvent marquer les enfants. Un musée de plein air, dit « le jardin habité », paysagé par Alain Bourbonnais autour d’une pièce d’eau : cet espace vert est agrémenté de sculptures, de girouettes. Fidèles à leur présentation d’origine, les créations sont exposées au pourtour de l’étang tels l’étonnant manège de Petit Pierre, la Petite Afrique de Jules Damloup et les personnages grandeur nature de Camille Vida.

Le lieu

Tout au long de sa vie de créateur et plus encore de collectionneur, l’architecte Alain Bourbonnais s’est interrogé sur la manière de présenter sa collection. Au milieu des années 70, il réfléchit à un lieu qui, à partir de sa collection apparentée à l’art brut et de la nécessité de la mettre en espace, soit à même de rendre compte du caractère hors-normes des œuvres hors-réseaux qu’il collectionne.

Alain Bourbonnais

Architecte en chef des bâtiments civils et palais nationaux, Alain Bourbonnais (1925 – 1988) remporte plusieurs concours publics entre la fin des années cinquante et le début des années 1980. En parallèle, il pratique la peinture et la gravure, et se consacre à partir de 1970 à ses Turbulents, au même moment, il amorce sa collection d’art hors-les-normes.

Le site de la fabuloserie : http://www.fabuloserie.com/

Newsletter 10 – Arts plastiques en ULIS TFM

Arts plastiques en ULIS TFM

C’est une Ulis peu ordinaire que l’Ulis « troubles des fonctions motrices ». Sur les huit élèves du dispositif, six sont en fauteuil, une n’a pas l’usage de ses membres supérieurs, un autre n’a l’usage que d’une main, tous ont des troubles praxiques plus ou moins importants, et tous ont un rapport au corps dont leur enseignante, valide et en bonne santé, n’a pas vraiment idée…

Je pourrais parler de notre projet artistique de danse inclusive, avec une classe de CE1 d’une autre école, mais l’inclusion n’étant pas d’actualité en ces temps de protocole sanitaire, c’est un projet qui évolue pour l’heure vers des activités plastiques.

Je pourrais parler du décloisonnement hebdomadaire en arts plastiques avec la classe de CP de l’école, où nous découvrons ensemble des œuvres d’artistes, travaillons le dessin d’observation, « célébrons  plastiquement » les événements qui marquent les saisons ou les fêtes, testons diverses techniques… Moments pas toujours confortables pour les élèves de l’Ulis, pas toujours en contact rapproché avec les élèves de l’autre classe, parce qu’un fauteuil électrique, ce n’est pas facile à caser à une petite table de CP… Parce qu’il n’est pas facile de coller quand on n’a l’usage que d’un seul bras, pas facile de peindre quand on ne voit que d’un œil, ou que la coordination œil/main est défaillante. Moments néanmoins attendus par les élèves du dispositif, toujours ravis de partager du temps avec leurs « collègues » des classes voisines.

Mais lorsque je propose, durant des temps sur le dispositif, en tout petit groupe, « entre nous », d’autres moments de proximité avec l’art… plus libres, simplement à partir d’une observation d’œuvre, ou à partir de matériel mis à disposition : c’est là je crois, que la magie opère. Car si pour eux, l’objectif de création est souvent peu valorisant, soit parce qu’ils ont voulu travailler en autonomie et que le résultat ne correspond pas à ce qu’ils escomptaient (déception de tant d’enfants, mais aussi d’adultes en situation !), soit parce que l’aide qui leur a été apportée (par un adulte ou par un pair), leur renvoie une fois de plus l’image d’assisté qui est souvent la leur, les temps de « patouille » avec la peinture à doigt, le « lâcher de paillettes » sur les cartes de Noël, la peinture à glaçons, les découvertes surprenantes de traces, de mélanges avec l’encre ou la peinture, les expériences visuelles et odorantes avec la pâte à modeler fabriquée en classe, sont souvent des moments de plaisir intense pour chacun de mes élèves. Et qu’importe au final la trace qui en reste… ce qui importe surtout, c’est le plaisir individuel et partagé, c’est l’expérience, le sensible. Et quoi de plus pertinent que le souvenir du plaisir des sens ou l’éveil de la sensibilité, pour dire que l’on a réussi une rencontre avec l’art ? Challenge d’autant plus difficile à atteindre en ces temps de restrictions, d’interdiction de sortie et de lieux culturels fermés !

En ces temps de protocole sanitaire, la distanciation physique ne laisserait place, si l’on y prend garde, qu’aux actes quotidiens, médicaux, « essentiels » nous dit-on. Comme si les contacts amicaux, rassurants, consolateurs, encourageants, ne l’étaient pas ! La place du toucher, si importante et parfois si éprouvante pour mes élèves régulièrement hospitalisés, quotidiennement manipulés, a été bien mise à mal par ce contexte . Alors, c’est par l’expérience sensorielle et sensible que nous approchons l’art en Ulis TFM. Entre 2 passages d’infirmières, entre 2 séances de rééducation, entre 2 journées d’hospitalisation.

Célia Schuhler, enseignante en ULIS TFM