Créer un site de classe permet de renforcer le lien entre l’école et les familles. Ce lien est indispensable dès lors que l’on souhaite créer les conditions d’une coopération efficace.
Il permet également aux élèves de faire partager leurs réalisations, leurs questionnements, leurs émotions, leur quotidien.
Fresque ULIS TFM Collège R.DOISNEAU, Chalon-sur-Saône avril – juillet 2018 10 artistes en herbe à la réalisation 2 professeures et 4 AVS
Genèse du projet
Juin 2017 : d’une pratique d’un travail commun et régulier entre un professeur d’arts plastiques et le coordonnateur de l’ULIS TFM, de la rencontre de certains élèves du dispositif avec Mme Charles, nait l’envie de proposer aux élèves de l’ULIS TFM un projet spécifique, créatif et collaboratif où les talents multiples pourraient s’exprimer.
Première partie : travail en classe
La première séance consiste à présenter aux élèves les « arts de la rue » et leur évolution historique et mondiale. Cet appui théorique servira d’appui à leur réflexion. Des motifs sont imposés aux élèves, parmi une liste proposée, dans leur production de groupe.
Différentes propositions émergent : certains élèves particulièrement talentueux même avec une seule main fonctionnelle ou une raideur des mains, créeront leurs dessins de toutes pièces. D’autres utiliseront les tablettes numériques pour rechercher des images qu’ils décalqueront. D’autres encore dont les difficultés motrices sont plus importantes, assembleront des éléments préalablement découpés par les AVS. D’autres enfin chercheront à remplir les espaces ou à faire la mise en couleur. C’est l’esprit « CARTOON » qui est retenu pour le projet.
Réalisation sur site :
L’organisation matérielle a du être interrogée au regard des besoins spécifiques des élèves en situation de handicap moteur.
Comment limiter les déplacements pour les élèves à mobilité réduite ?
A quelle hauteur installer le matériel de peinture ?
Qui pourra peindre debout ? assis sur une chaise ? s’accroupir ? s’assoir sur le sol ? Qui devra rester dans son fauteuil ?
Comment répartir les espaces à dessiner, à peindre, du fait de l’encombrement des fauteuils et des chaises présentes ?
Comment tenir compte de leur fatigabilité ?
Quelles qualités connait-on de chacun d’eux pour répartir les taches ? (minutie, créativité, persévérance, prises d’initiatives …)
Les adultes, professeurs et AVS ont eu à jouer un rôle logistique très important : échanger les pinceaux des élèves, leur mettre à disposition les couleurs, aider aux déplacements, maintenir l’équilibre des élèves les pus instables sur leurs jambes, attacher un élève sur sa chaise pour éviter les chutes, aider à s’asseoir, à se relever… Les élèves se sont également souvent entraidés.
Bilan
Ce travail a renforcé la cohésion du groupe d’élèves mais a aussi fédéré de très nombreux personnels du collège : les agents de service qui veillaient à la bonne santé de tous par l’apport d’eau fraiche en ces jours de fortes chaleurs, les professeurs et personnels de la vie scolaire qui venaient pour encourager et même participer aux travaux de peinture, les personnels administratifs bien entendu.
Cette activité pédagogique montre à toute la communauté éducative et citoyenne que les élèves en situation de handicap ont des savoir, des savoir-faire, des savoir-être qui peuvent être utiles à tous, embellissant ici le cadre de vie au collège.
Les élèves ont eu un grand plaisir à participer à ce projet et repartent sans aucun doute plus forts de cette expérience, avec une plus grande confiance en eux. Ils sont fiers de leur appartenance à l’établissement, laissant pour plusieurs années, un souvenir coloré de leur scolarité au collège.
Projet avec les reporters du journal « Cézanne ouvre-toi » et Sonia Blondet, journaliste à Info Chalon, en lien avec l’Espace des Arts de Chalon
Le but de ce projet est de réaliser un journal Numéro Spécial avec le soutien d’une journaliste professionnelle, Sonia Blondet, d’Info Chalon.
Nicole Georgeot, enseignante de l’établissement médico-social de Tournus
Info Chalon ( info-chalon.com ) est un journal gratuit diffusé exclusivement sur Internet : il publie des articles sur Chalon mais également sur une partie de la Saône et Loire et de la Bourgogne. L’Espace des Arts de Chalon est à l’initiative de ce projet. Dans le cadre de leur programmation Jeune Public, il propose le Rendez vous des PICCOLIS : 5 spectacles sont à l’affiche en février-mars 2018.
Le rôle des reporters du journal Cézanne est de réaliser une interview des chorégraphes ou metteurs en scène. Ces interviews se feront en direct ou par Skype. Un journal édition spéciale sera réalisé avec la journaliste puis édité par l’Espace des Arts. Il sera distribué lors des spectacles et les articles seront publiés sur Info Chalon.
Une première rencontre avec tous les protagonistes aura lieu à Chalon. Chaque interview sera réalisée par un petit groupe de 2 ou 3 jeunes avec la journaliste et moi-même. Elles auront lieu à Chalon et une certainement à Dijon.
Les jeunes pourront assister à un ou plusieurs des 5 spectacles des Rendez-vous des Piccolis.
info-chalon.com parrain de 12 jeunes reporters !
En partenariat avec l’Espace des Arts, Scène nationale Chalon-sur-Saône, infochalon.com accompagne jusqu’au « Rendez-vous des Piccolis », programmé du 27 février au 6 mars, 12 jeunes reporters du journal de l’EPMS* Tournus « Cézanne, ouvre-toi ».
Fixé le mercredi 6 décembre, le premier rendez-vous a réuni les participants et les partenaires de ce projet d’action culturelle intitulé « Tous en jeu // 3 » porté par l’Espace des arts, Scène nationale Chalon-sur-Saône. Pour l’occasion, le comité de rédaction a pris place dans le Salon d’honneur du Théâtre Piccolo, lieu fascinant qui ne cesse d’émerveiller ses hôtes. Très enthousiastes, Julie, Andréa, Gwendoline, Anthony, Kristian, Iris, Ludovic, Charline, Léo, Enzo, Arnaud et Charles ont répondu favorablement à ce projet. Autour d’eux, pour les encadrer : Nicole Georgeot, enseignante à l’EPMS, Bernadette Ronge, conseillère technique EDA** et conseil artistique jeune public et Sonia Blondet Rodriguez, marraine et représentant infochalon.com. Étaient également présents : Aude Girod, Responsable de la Communication EDA et Clément Renou, éducateur.
Après avoir fait connaissance, les participants ont échangé avec leur marraine sur les pratiques des reporters puis sont entrés dans le vif du sujet en préparant les interviews destinées aux metteurs en scène, chorégraphes, artistes… programmés dans le cadre du Rendez-Vous des Piccolis. Cinq entrevues, au total, seront menées par une équipe composée de 2 à 3 jeunes reporters. Ces entretiens seront publiés sur le site d’informations infochalon.com et feront également l’objet d’un « hors-série » pris en charge par l’Espace des Arts, Scène nationale Chalon-sur-Saône.
Jeudi 14 décembre, la première équipe de jeunes reporters se déplacera à Dijon afin d’interviewer Karen Bourre (jongleuse) et Julien Lanaud (scénographe) de la Compagnie Opopop qui présenteront, lors du Rendez-Vous des Piccolis, le spectacle Le Plus petit cirk du bout du monde.
* EPMS : Établissement Public Médico-Social ** EDA : Espace des Arts, Scène nationale Chalon-sur-Saône
1re interview pour 3 jeunes reporters parrainés par info-chalon.com
Julie, Arnaud et Léo ont fait le voyage Tournus/Dijon pour rencontrer leurs premiers interviewés.
Encadrés par leur enseignante Nicole Georgeot, les trois jeunes reporters du journal de l’EPMS (Établissement Public Médico-Social) « Cézanne, ouvre-toi », ont rejoint à Dijon Bernadette Ronge, Conseillère technique Espace des Arts, Scène nationale Chalon-sur-Saône, Conseillère artistique jeune public et Sonia Blondet Rodriguez, leur marraine, représentant infochalon.com
Pendant 1h15, Julie, Arnaud et Léo ont interrogé Karen Bourre et Julien Lanaud qui présenteront le spectacle Le plus Petit cirk du bord du bout du monde dans le cadre du Rendez-vous des Piccolis qui se tiendra du 27 février au 6 mars 2018. Tout disposés à répondre le plus précisément possible à la liste de questions préparées en comité de rédaction lors d’un rendez-vous précédent qui a réuni tous les partenaires : EPMS Tournus, infochalon.com et l’Espace des Arts, Scène nationale Chalon-sur-Saône qui porte cette action culturelle intitulée « Tous en jeu // 3 », dans l’antre de la jongleuse et du « technicien-bricoleur » également comédien, les échanges sont allés bon train. Les artistes de la Cie Opopop ont même dévoilé quelques « secrets de fabrication » et livré des anecdotes passionnantes que les lecteurs découvriront sur le site d’informations infochalon.com dès le début de l’année prochaine, en préambule du festival jeunesse « Le rendez-vous des Piccolis » qui enchante, d’édition en édition, autant les enfants que les parents.
Nicole Georgeot, enseignante de l’établissement médico-social de Tournus
Participation au concours ‘une œuvre pour le rectorat’ de la classe de pédiatrie de l’hôpital de Chalon »
Ecole Jean Raveau Pédiatrie Enseignante: Mme Hélène FEDORAS
17 élèves ont participé à la réalisation de l’œuvre, âgés pour le plus jeune de 6 ans 9 mois et pour le plus âgé de 17 ans 10 mois.
Présentation de l’œuvre réalisée :(écrit par l’enseignant et/ou les élèves) :
« Elle s’était laissée tomber toute seule. Elle avait lâché prise. Elle était toute petite. C’était une graine, une minuscule petite graine. »…
Ainsi commence l’histoire de celle qui deviendra un bel arbre, un arbre magnifique, au milieu de la forêt. Un jour, un drôle d’oiseau, de toutes les couleurs vient se poser sur ses branches et le persuade d’aller au milieu des hommes pour y être choyé et admiré….
Chaque semaine, Patricia la conteuse emmène les enfants de la classe de pédiatrie dans ses histoires. La musique des mots invite chacun à construire ses propres images.
De là sont nés un puis deux, puis trois et… finalement de nombreux petits sapins, uniques et participant au projet collectif, portés par l’histoire de la petite graine ainsi que par celle de chacun des enfants hospitalisés.
Concours de dessins, d’affiches, de tags, de photos détournées
« Nous sommes tous pareils. »
Les différentes productions des élèves sont regroupées dans un diaporama téléchargeable ci-dessous. L’équipe ASH 71 remercie les écoles, élèves et enseignants, qui ont participé à ce projet.
Les ateliers « Prête-moi ton handicap » s’inscrivent dans une démarche pédagogique de sensibilisation au handicap. Ils sont destinés à conduire les élèves, les familles, ou toutes autres personnes vers une démarche citoyenne d’accueil et de partage avec les personnes en situation de handicap.
Ils ont été créés à partir d’un constat : les principaux obstacles que rencontre une personne handicapée sont la méconnaissance voire l’ignorance du handicap, les préjugés, et la peur.
Les participants sont conviés à des mises en situation et à des jeux de rôles afin de prendre conscience des difficultés et des discriminations que peut subir une personne du fait de son handicap, mais aussi des compétences nécessaires pour compenser son handicap.
Dans le cadre de la journée du handicap, lundi 4 décembre 2017, des actions ont été menées dans les écoles par les enseignants
L’ école Danièle Casanova des Gautherets – Saint-Vallier, avec des élèves de MS et GS, a sensibilisé les élèves au handicap en proposant plusieurs ateliers :
handicap visuel : atelier de modelage les yeux bandés, découverte de livres tactiles adaptés aux déficients visuels ainsi que de l’écriture en braille. Jeu « Qui est qui? » pour reconnaître ses camarades de classe uniquement du bout de ses doigts. Ateliers de transvasement…
handicap praxique : réaliser des colliers de perles, du découpage, des jeux de construction ou des dessins avec des gants.
Puis des échanges, autour des difficultés que les élèves ont rencontrées, ont été organisés ainsi qu’une projection vidéo de « La petite Casserole d’Anatole ».
Un diaporama pour présenter l’ensemble des activités de la semaine a été réalisé.
L’ école de Chasselas, avec élèves de GS à CE1, a sensibilisé les élèves au handicap en proposant plusieurs ateliers :
– handicap auditif : réaliser des consignes simples avec un casque sur les oreilles.
– handicap visuel : effectuer un parcours de motricité avec les yeux bandés & dessiner avec des lunettes agrémentées d’un cache partiel.
– handicap moteur/praxique : habiller un poupon avec une seule main, écrire de sa main gauche (pour les droitiers) ou droite (pour les gauchers), enfiler des perles avec des gants.
Puis des échanges, autour des difficultés que les élèves ont rencontrées, ont été organisés ainsi qu’une projection vidéo de « Vinz et Lou » (Association Tralalère)
La délibération en vue de la création d’une carte de vœux de la circonscription ASH a eu lieu. Il a été difficile de ne choisir qu’une seule production.
Projet « Journal de classe » :La fouine du Château écriture, mise en page et rédaction Classe Magellan – ITEP de Cruzille Hugues Traver
« Un journal scolaire est réalisé au sein de la classe.
Les élèves ont des rôles bien définis, en rotation suivant les possibilités de chacun (comité de rédaction, journaliste, copieur, dessinateur, chargé de communication…).
Ce projet implique les autres classes qui peuvent rédiger des articles.
L’élaboration d’un journal permet de réinvestir beaucoup de compétences travaillées et amène à en travailler de nouvelles.
C’est un formidable moteur à la production d’écrit, mais aussi pour créer du lien au sein de l’établissement, pour s’intéresser à l’actualité, pour parler de sujets qui tiennent à coeur… »
Bruno et ses potes, une série qui traite du handicap, avec humour, un humour décalé voir un humour noir. Qui peut mieux parler du handicap que les personnes en situation de handicap elles-mêmes ?
Le vestiaire de piscine n’est pas réputé pour stimuler l’imagination. A une exception près puisque c’est là qu’Adda Abdelli et Fabrice Chanut, nageurs dans un club handisport de Marseille, ont trouvé l’idée de Vestiaires, programme court (2 minutes) et percutant diffusé sur France 2. « Si la série réussit à faire oublier le handicap, c’est gagné. »
Depuis sa première Websérie en 2010, J’en crois pas mes yeux se fixe comme ligne de conduite : « On peut rire de tout mais pas avec n’importe qui » (Pierre Desproges)
De tout ? Et pourquoi pas du handicap et de la diversité ? … Des sujets trop sensibles pour avoir le droit à l’humour ?
Co-produites par la MASFIP et APF France Handicap, la web série «Les Tutos de Ludo» vise à favoriser la prise en compte des personnes en situation de handicap et de perte d’autonomie. Elle ambitionne également de promouvoir les gestes de bien traitance et les postures techniques adaptées afin de faciliter la vie des aidants et des aidés.
Le principe? Retourner les préjugés rencontrés pour les aborder avec beaucoup d’humour. La vidéo met en scène un candidat en entretien d’embauche dans une entreprise un peu particulière…et nous retrouvons un florilège de préjugés…inversés! Le tout avec beaucoup d’humour et d’autodérision!(site Talentéo)
d’Olivier Nakache et Eric Toledano, est un film inspiré de faits réels, presque documentaire qui décrit le quotidien d’enfants, adolescents, adultes autistes et de leurs encadrants.
Poignant, émouvant, drôle également, , assurément humain, c’est une véritable leçon de vie qui est dépeinte au travers des associations incarnées à l’écran par Reda Kateb et Vincent Cassel.
Le casting (acteurs professionnels, vrais encadrants et autistes) est remarquable.
Synopsis
Bruno et Malik vivent depuis 20 ans dans un monde à part, celui des enfants et adolescents autistes. Au sein de leurs deux associations respectives (« Le silence des justes » & « le Relais Ile-de-France« ), ils forment des jeunes issus des quartiers difficiles pour encadrer ces cas qualifiés « d’hyper complexes ». Une alliance hors du commun pour des personnalités hors normes.
« Quelque Chose en Plus »Le trailer du long métrage de Sophie Robert qui défend une approche comportementaliste de l’autisme, l’A.B.A.
« L’école de la vie »Anita, Rita, Ricardo et Andrés sont là depuis bien plus longtemps que tous leurs enseignants, maintenant, ils doivent se battre pour trouver un travail et gagner leur vie comme tout le monde et faire qu’à leurs 50 ans passés, les gens ne les considèrent plus comme des enfants. Ils feront tout pour que personne n’interfère avec leurs rêves. Nommé au Festival International de Films de Femmes de Créteil 2017
La SEGPA de Marie Cappello accueille des élèves au parcours scolaire à la fois chaotique et douloureux, au sein d’un établissement d’enseignement général situé en zone urbaine prioritaire. Souffrant de l’image dégradée de la section renvoyée par les autres élèves, ils combattent de plus un apartheid socio-culturel. Marie les aide par son approche unique et de méthodes innovantes. C’est l’aventure du renouement au savoir et d’éveil à la vie, où volontaires, solidaires, vulnérables et attachants, ces adolescents et leur professeur nous donnent à tous, une vraie leçon de courage
Dans une bibliothèque publique, un jeune homme s’éprend d’une jeune femme. Face au silence imposé par le lieu, comment arriveront-il à communiquer ? Et si tous deux étaient ainsi mis sur un pied d’égalité ?
La Petite Casserole d’Anatole est un court métrage d’animation français réalisé par Éric Montchaud, adaptation du livre éponyme d’Isabelle Carrier. Anatole a six ans. Il traîne toujours derrière lui sa petite casserole. Elle lui est tombée dessus un beau jour, on ne sait pas très bien pourquoi. Depuis, elle se coince partout et l’empêche d’avancer. Et voilà qu’Anatole en a assez. Il décide de se cacher. Pour ne plus voir et ne plus être vu. Mais malheureusement, les choses ne sont pas si simples …
Comment réagir face à la différence, quelles émotions suscite une telle rencontre ? Qu’est-ce que le syndrôme d’Angelman ? Ce film pose des questions, et vise à faire parler les petits spectateurs sur leur expérience personnelle avec le handicap. Il tente ainsi d’apporter un début de réponse en mettant en scène un modèle d’inclusion.
Réalisateur : Tarik Ben Salah Deux adolescents prennent les transports en commun. Ils discutent de tout et de rien, plaisantent sur leur vie, sur les autres, tout ce qu’il y a de plus normal. Lorsqu’ils commencent à se moquer d’une personne handicapée, cela ne semble choquer personne… La suite de l’histoire se base sur le quotidien de l’un de ces jeunes. A travers son histoire de vie, le cheminement de cette histoire nous amènera à comprendre comment une idée toute faite, un préjugé, peut être amené à changer.
Réalisateur : Tarik Ben Salah Océane vient d’intégrer un nouveau lycée. Après une intervention d’une jeune fille trisomique à propos de sa maladie, celle-ci se moque d’elle. Une partie de la classe est choquée.
Film espagnol sous-titré en Français sur le thème de la vie affective de personnes avec une trisomie 21. Deux couples se forment : – Daniel (porteur d’une trisomie) et Laura, femme « tourmentée », mal dans sa vie. Ils sont collègues de travail . – Pedro et Luisa sont deux jeunes porteurs de trisomie. Ils font de la danse dans une salle dirigée par le frère et la belle-sœur de Daniel.
La web-Série « Moi, ma famille et les autres », propose des regards de personnes handicapées intellectuelles sur leur vie de famille, leur vie sociale, leurs rêves, leurs projets, leur quête d’autonomie. Découvrez les témoignages de Mélanie, Christina, Guy, Fred, Chantal et Maxime. Films réalisés par Estelle Djana Schmidt et Antoine Bonnin pour l’Unapei avec le soutien de Humanis
Noelia a réalisé le rêve de sa vie : devenir institutrice. Jusque là rien d’exceptionnel. Sauf que Noelia est atteinte de trisomie 21. Après des années d’études, cette jeune femme de 30 ans enseigne depuis 2012 dans une école maternelle de Cordoba en Argentine. Une situation qui fait de Noelia la première personne trisomique à devenir maîtresse d’école.
Noelia a les mêmes fonctions que les autres enseignantes de son école et ne passe pas inaperçue avec son fort caractère et sa bonne humeur. Une personnalité qui séduit autour d’elle. Pour son père, elle est la preuve que l’amour et la tolérance sont les seuls remèdes contre le syndrome de Down. Grâce à l’immense affection dont Noelia est entourée, elle a pu grandir et s’épanouir. Face à la stigmatisation des personnes malades et handicapées, cette jeune femme porte un message d’espoir. Elle donne la plus importante des leçons à ses petits élèves : la tolérance face à la différence.
Né de la collaboration avec l’écrivaine Marguerite Abouet, auteur de la BD à succès Aya de Yopougon et trois jeunes scénaristes d’Afrique de l’Ouest, ce film d’animation réalisé par Handicap International dans le cadre du projet APPEHL ( Agir pour la Pleine Participation des Enfants Handicapés par L’éducation) a pour but de sensibiliser sur l’accès des enfants handicapés à l’éducation et lutter contre les discriminations auxquelles ils font souvent face.
Olivier Hallé est producteur. En 2010, il lance sa propre société et produit Dans la peau d’un handicapé, diffusé au printemps 2012 sur France 4.
Hayssam, Julien et Eve, trois jeunes valides, ont accepté de se placer dans la situation d’une personne en situation de handicap et d’être confrontés à tous les aspects de la vie courante : prendre les transports en commun, accéder à une salle de spectacle ou à une discothèque ou encore trouver un travail. Ils sont accompagnés dans leur expérience par une jeune paraplégique de 25 ans, Audrey, animatrice en centre de loisirs.
Lorsque Matthieu Firmin, grand reporter, a perdu l’usage de ses jambes après un accident vasculaire, il s’est promis de remarcher et a tenu parole. Dès le premier jour de son hospitalisation, il a ressenti le besoin vital de faire un film pour raconter son histoire. Pendant un an, il a tenu un journal de bord vidéo sur son quotidien à l’hôpital, aux côtés d’autres patients, Cédric, Brice, Marius et Adrien.
réalisé par : Matthieu Firmin
Remerciements
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